L’histoire que je vais vous lire s’intitule La Veuve et Ses Deux Filles. Écrite par Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, elle est accessible à partir du niveau B1.
Cette histoire parle d’une veuve qui a deux filles ; une vieille femme passe près de la maison et la veuve demande à ses filles de donner quelque chose à manger à la vieille. L’une hésite et l’autre donne de bon cœur. La vieille qui est une fée veut alors récompenser les deux filles selon leur mérite. Les deux sœurs sont au départ très heureuses de ce cadeau mais quelques années plus tard, l’une d’elles va devenir profondément malheureuse.
Vous avez choisi votre plus beau fauteuil ?
Alors asseyez-vous et écoutez cette nouvelle histoire.
1- Écoutez l’histoire
Je vous conseille d’écouter deux fois cette histoire avant de passer à la suite.
Vous pouvez également l’écouter sur cette page ou la télécharger au format MP3 en cliquant sur ce lien : télécharger en MP3
2- Comprenez le vocabulaire
Maintenant que vous avez écouté l’histoire, regardez le vocabulaire expliqué ci-dessous.
Une veuve : Une femme dont le mari est mort.
Teint : Le teint est la couleur de la peau.
Filer : le verbe “filer” signifie “travailler une matière textile pour la transformer en fils”. Par exemple : filer la laine.
Se traîner : Ce verbe pronominal signifie “avoir des difficultés à marcher, marcher péniblement”.
Boire un coup : l’expression “boire un coup” signifie “boire un verre”.
Je mangerais bien un morceau : l’expression “manger un morceau” conjuguée ici au conditionnel présent signifie “manger très peu, faire un repas léger, prendre une collation rapide”.
Ragoûter : le verbe “ragoûter” signifie “redonner le goût de manger, redonner de l’appétit” à une personne souffrante, malade, une personne qui a peu de force”
Prunes : une prune est un fruit à noyau. Parmi les prunes européennes les plus connues, on trouve la mirabelle et la reine-claude.
De bonne grâce : l’expression “de bonne grâce” est invariable, elle signifie “avec plaisir, volontiers”.
De mauvaise grâce : l’expression “de mauvaise grâce” est invariable et signifie “contre sa volonté, contre son gré”.
A contrecœur : l’expression “à contrecœur” signifie “malgré soi, avec déplaisir, sans en avoir envie”.
Selon leur mérite :cette expression signifie “en fonction des vertus” d’une personne ou encore “par rapport à sa conduite, son attitude”.
Il résolut de : il s’agit du verbe “résoudre de” qui signifie “être décidé à faire quelque chose”, “avoir la détermination de faire quelque chose”.
Je vous suis bien obligée : l’expression “être obligé” conjuguée au présent signifie “être reconnaissant de quelque chose” ou encore “être redevable de quelque chose”.
Je suis accoutumée : l’expression “être accoutumé” conjuguée au présent signifie “être habitué”
Divertissait : le verbe “divertir” conjugué à l’imparfait signifie “amuser”, “distraire”.
Maîtresses : une maîtresse est une femme qui a une relation avec un homme marié.
Faire bonne mine à : cette expression signifie “être aimable, gentil, sympa” avec une personne.
Ôtait : le verbe “ôter” conjugué à l’imparfait signifie “enlever, quitter, supprimer”.
Elle était contredite : le verbe “contredire” est ici conjugué à l’imparfait, à la forme passive. Il signifie “être contesté”, “être analysé” ou encore “être examiné”.
Tout de travers : la locution “de travers” est renforcée par l’adverbe “tout”. Elle signifie “dans le mauvais sens, d’une manière opposée à ce qu’il faudrait”.
Accablée de : l’adjectif “accablé” signifie “effondré, abattu, en état de déprime”.
Se désennuyer : le verbe pronominal “se désennuyer” signifie “sortir une personne de l’ennui” autrement dit qu’une personne trouve le moyen de se distraire, de s’occuper.
Il serait débarrassé d’ : il s’agit du verbe “débarrasser” conjugué au conditionnel, à la voix passive. Il signifie “être libéré d’une personne qui gêne, qui dérange, qui embarrasse”.
Engraissée : l’adjectif “engraissé” signifie “devenir gras ou gros”.
Ses manières complaisantes : l’adjectif “complaisant” signifie “qu’une personne cherche à rendre service à une personne, à être aimable, serviable avec cette personne.
S’empressait à : le verbe pronominal “s’empresser à” signifie “montrer du zèle, montrer de l’ardeur” envers une personne, autrement dit “montrer de l’intérêt pour quelqu’un par des attentions”. Cet emploi est rare. Aujourd’hui, on utilise le verbe “s’empresser de” qui signifie “se dépêcher de”, se hâter de”.
Des preuves : une preuve est une chose qui permet de montrer la vérité d’un fait.
Ils se portaient à merveille : l’expression “se porter à merveille” conjuguée ici à l’imparfait signifie “être en pleine forme, être en bonne santé”.
Présent : un présent est un cadeau.
Je n’ai pas prétendu : il s’agit du verbe “prétendre” conjugué au passé-composé. Il signifie “affirmer, dire, revendiquer”.
Punir : le verbe “punir” signifie “donner une punition, une correction à une personne”, “sanctionner une faute par une peine”.
Vous vous êtes assez vengée : il s’agit du verbe pronominal “se venger” conjugué au passé-composé. Il signifie “prendre une revanche sur quelqu’un pour le mal qu’il nous a fait”.
Avait prédit : il s’agit du verbe “prédire” conjugué au plus-que-parfait. Il signifie “annoncer ce qui va arriver”.
3- Réécoutez l’histoire
Essayez maintenant d’identifier les mots de vocabulaire dans l’histoire en l’écoutant à nouveau.
4- Répondez aux questions
Pour vérifier que vous avez bien compris, répondez à ces questions:
- Comment s’appellent les deux sœurs ? Pourquoi les a-t-on appelées ainsi ?
- Laquelle des deux filles accueille la vieille femme de bon cœur ?
- Comment la fée récompense-t-elle les jeunes filles ?
- Qui devient reine ?
- La reine est-elle appréciée des dames de la cour ?
- Comment réagit le roi ?
- Depuis combien de temps Blanche n’a pas revu sa sœur ? Pourquoi ?
- Pourquoi le roi accepte-il que Blanche rende visite à sa sœur ?
- Le fait d’être reine était-il une récompense ? Justifiez.
5- Vérifiez vos réponses
6- Lisez la transcription
Vous pouvez télécharger la transcription de l’histoire en PDF en cliquant sur ce lien :
La Veuve et ses Deux Filles Il y avait une veuve, assez bonne femme, qui avait deux filles, toutes deux fort aimables ; l’aînée se nommait Blanche, la seconde Vermeille. On leur avait donné ces noms, parce qu’elles avaient, l’une le plus beau teint du monde, et la seconde des joues et des lèvres vermeilles comme du corail. Un jour la bonne femme, étant près de sa porte, à filer, vit une pauvre vieille, qui avait bien de la peine à se traîner avec son bâton. « Vous êtes bien fatiguée, dit la bonne femme à la vieille. Asseyez-vous un moment pour vous reposer »; et aussitôt, elle dit à ses filles de donner une chaise à cette femme. Elles se levèrent toutes les deux ; mais Vermeille courut plus vite que sa sœur, et apporta la chaise. « Voulez-vous boire un coup ? dit la bonne femme à la vieille. – De tout mon cœur, répondit-elle ; il me semble même, que je mangerais bien un morceau, si vous pouviez me donner quelque chose pour me ragoûter. – Je vous donnerai tout ce qui est en mon pouvoir, dit la bonne femme ; mais, comme je suis pauvre, ce ne sera pas grand-chose. » En même temps, elle dit à ses filles de servir la bonne vieille, qui se mit à table : et la bonne femme commanda à l’aînée d’aller cueillir quelques prunes qu’elle avait plantées elle-même et qu’elle aimait beaucoup. Blanche, au lieu d’obéir de bonne grâce à sa mère, murmura contre cet ordre, et dit en elle- même : Ce n’est pas pour cette vieille gourmande que j’ai eu tant de soin de mon prunier. Elle n’osa pourtant pas refuser quelques prunes, mais elle les donna de mauvaise grâce et à contrecœur. « Et vous, Vermeille dit la bonne femme, à la seconde de ses filles, vous n’avez pas de fruit à donner à cette bonne dame, car vos raisins ne sont pas mûrs. – Il est vrai, dit Vermeille, mais j’entends ma poule qui chante, elle vient de pondre un œuf, et si madame veut l’avaler tout chaud, je le lui offre de tout mon cœur. » En même temps, sans attendre la réponse de la vieille, elle courut chercher son œuf ; mais dans le moment qu’elle le présentait à cette femme, elle disparut, et l’on vit à sa place une belle dame, qui dit à la mère : « Je vais récompenser vos deux filles selon leur mérite. L’aînée deviendra une grande reine, et la seconde une fermière »; et en même temps, ayant frappé la maison de son bâton, elle disparut, et l’on vit à la place une jolie ferme. « Voilà votre partage, dit-elle à Vermeille. Je sais que je vous donne à chacune ce que vous aimez le mieux. » La fée s’éloigna, en disant ces paroles ; et la mère, aussi bien que les deux filles, restèrent fort étonnées. Elles entrèrent dans la ferme, et furent charmées de la propreté des meubles. Les chaises n’étaient que de bois ; mais elles étaient si propres, qu’on s’y voyait comme dans un miroir. Les lits étaient de toiles, blanches comme la neige. Il y avait dans les étables vingt moutons, autant de brebis, quatre bœufs, quatre vaches ; et dans la cour, toutes sortes d’animaux; comme des poules, des canards, des pigeons et autres. Il y avait aussi un joli jardin, rempli de fleurs et de fruits. Blanche voyait sans jalousie le don qu’on avait fait à sa sœur, et elle n’était occupée que du plaisir qu’elle aurait d’être reine. Tout d’un coup, elle entendit passer des chasseurs, et étant allée à la porte pour les voir, elle parut si belle aux yeux du roi, qu’il résolut de l’épouser. Blanche, étant devenue reine, dit à sa sœur Vermeille : « Je ne veux pas que vous soyez fermière ; venez avec moi, ma sœur, je vous ferai épouser un grand seigneur. – Je vous suis bien obligée, ma sœur, répondit Vermeille ; je suis accoutumée à la campagne, et je veux y rester. » La reine Blanche partit donc, et elle était si contente, qu’elle passa plusieurs nuits sans dormir de joie. Les premiers mois, elle fut si occupée de ses beaux habits, des bals, des comédies, qu’elle ne pensait à autre chose. Mais bientôt elle s’accoutuma à tout cela, et rien ne la divertissait plus ; au contraire, elle eut de grands chagrins. Toutes les dames de la cour lui rendaient de grands respects, quand elles étaient devant elle ; mais elle savait qu’elles ne l’aimaient pas, et qu’elles disaient, « voyez cette petite paysanne, comme elle fait la grande dame ; le roi a le cœur bien bas, d’avoir pris telle femme ». Ce discours fit faire des réflexions au roi. Il pensa qu’il avait eu tort d’épouser Blanche ; et comme son amour pour elle était passé, il eut un grand nombre de maîtresses. Quand on vit que le roi n’aimait plus sa femme, on commença à ne plus lui rendre aucun devoir. Elle était très malheureuse, car elle n’avait pas une seule bonne amie, à qui elle pût conter ses chagrins. Elle voyait que c’était la mode, à la cour, de trahir ses amis par intérêt ; de faire bonne mine à ceux que l’on haïssait, et de mentir à tout moment. Il fallait être sérieuse, parce qu’on lui disait qu’une reine doit avoir un air grave et majestueux. Elle eut plusieurs enfants ; et pendant tout ce temps, elle avait un médecin auprès d’elle, qui examinait tout ce qu’elle mangeait, et lui ôtait toutes les choses qu’elle aimait. On ne mettait point de sel dans ses bouillons ; on lui défendait de se promener, quand elle en avait envie ; en un mot, elle était contredite depuis le matin jusqu’au soir. On donna des gouvernantes à ses enfants, qui les élevaient tout de travers, sans qu’elle eût la liberté d’y trouver à redire. La pauvre Blanche se mourait de chagrin, et elle devint si maigre, qu’elle faisait pitié à tout le monde. Elle n’avait pas vu sa sœur, depuis trois ans qu’elle était reine, parce qu’elle pensait qu’une personne de son rang serait déshonorée, d’aller rendre visite à une fermière ; mais, se voyant accablée de mélancolie, elle résolut d’aller passer quelques jours à la campagne, pour se désennuyer. Elle en demanda la permission au roi, qui la lui accorda de bon cœur, parce qu’il pensait qu’il serait débarrassé d’elle pendant quelque temps. Elle arriva le soir à la ferme de Vermeille, et elle vit de loin, devant la porte, une troupe de bergers et de bergères, qui dansaient et se divertissaient de tout leur cœur. « Hélas ! dit la reine, en soupirant, où est le temps que je me divertissais comme ces pauvres gens ? » D’abord qu’elle parut, sa sœur accourut pour l’embrasser. Elle avait un air si content, elle était si fort engraissée, que la reine ne put s’empêcher de pleurer en la regardant. Vermeille avait épousé un jeune paysan, qui n’avait pas de fortune, mais il se souvenait toujours que sa femme lui avait donné tout ce qu’il avait, et il cherchait par ses manières complaisantes à lui en marquer sa reconnaissance. Vermeille n’avait pas beaucoup de domestiques, mais ils l’aimaient, comme s’ils eussent été ses enfants, parce qu’elle les traitaient bien. Tous ses voisins l’aimaient aussi, et chacun s’empressait à lui en donner des preuves. Elle n’avait pas beaucoup d’argent, mais elle n’en avait pas besoin ; car elle recueillait dans ses terres, du blé, du vin et de l’huile. Ses troupeaux lui fournissaient du lait, dont elle faisait du beurre et du fromage. Elle filait la laine de ses moutons pour se faire des habits, aussi bien qu’à son mari, et à deux enfants qu’elle avait. Ils se portaient à merveille, et le soir, quand le temps du travail était passé, ils se divertissaient à toutes sortes de jeux. « Hélas ! s’écria la reine, la fée m’a fait un mauvais présent, en me donnant une couronne. On ne trouve point la joie dans les palais magnifiques, mais dans les occupations innocentes de la campagne. » A peine eut-elle dit ces paroles, que la fée parut. « Je n’ai pas prétendu vous récompenser, en vous faisant reine, lui dit la fée, mais vous punir, parce que vous m’aviez donné vos prunes à contrecœur. Pour être heureux, il faut comme votre sœur, ne posséder que les choses nécessaires, et n’en point souhaiter davantage. – Ah ! madame, s’écria Blanche, vous vous êtes assez vengée; finissez mon malheur. – Il est fini, reprit la fée. Le roi, qui ne vous aime plus, vient d’épouser une autre femme ; et demain, ses officiers viendront vous ordonner de sa part, de ne point retourner à son palais. » Cela arriva comme la fée l’avait prédit : Blanche passa le reste de ses jours avec sa sœur Vermeille, avec toutes sortes de contentements et de plaisirs ; et elle ne pensa jamais à la cour, que pour remercier la fée de l’avoir ramenée dans son village. – FIN – |
Pour aller plus loin
Si vous avez envie d’écouter d’autres histoires, je vous invite fortement à lire celles-ci :
Bonjour Anne,
une autre éducative et intéressant histoire. Je l’ai écouté, pour le moment, une seule fois et elle me semble un peu difficile. Tant mieux! j’aimerai connaître l’auteur de cette histoire. Merci.
Gaio
Merci Gaio pour ton message !
Le nom de l’auteur est écrit dans l’introduction : Écrite par Jeanne-Marie Leprince de Beaumont.
(Une autre histoire éducative et intéressante. Je l’ai écoutée.)
Bonsoir Anne, comment vas-tu ? Je suis un haïtien vivant en terre natale plus précisément à Port-au-Prince. Je tiens à vous remercier et vous féliciter pour ce beau histoire partagée avec nous. J’aime la façon dont tu procèdes pour nous aider à bien maîtriser la langue de Voltaire [français]. Merci. Dans cette veine, j’aimerais te demander s’il n’y a pas moyen de nous donner de profiter d’une conversation écrite afin d’améliorer davantage notre façon d’écrire. Comme ça tu pourras voir et corriger les fautes commises. Merci. wislyjean94@yahoo.com c’est mon adresse électronique. J’aimerais bien trouver des ami[e]s pour faire un peu de pratique. Merci encore. Puisse Dieu te bénir.
Bonjour et merci beaucoup pour ton message !
Je corrige chaque message envoyé sur mon site.
Si tu souhaites pratiquer l’écrit, n’hésite pas à commenter les articles, je corrigerai tes messages.
(cette belle histoire… de nous permettre de pratiquer l’écrit)
Oh lala!!! C’est trop cool, j’ai adoré, j’ai pris tout mon attention pour écouter les moindres détails de l’histoire. Merci infiniment Anne pour cette belle histoire que vous nous avez lu et pour les vocabulaires que vous avez affiché pour que je comprenne mieux l’histoire Merci aussi à l’auteur.
Merci beaucoup Moïse !
( j’ai pris tout mon temps ou J’ai écouté avec attention les moindres… lue…affichés)
Chère Anne
Merci pour les excellentes leçons qui enseignent le français de manière très didactique, étape par étape.
Et merci pour les histoires qui nous rappellent notre enfance, lorsque nos mères nous racontaient des histoires de Perrault, Andersen et Grimm.
Cordialement
Joaquim de Carvalho
Merci Joaquim !
Bonjour Anne,
j’ai bien apprécié l’histoire. J’en ai tiré d’importantes leçons. Merci et bonne continuation
Merci papa 🙂
Vous etes la meilleure. Je t aime beaucoup. ???
C’est gentil Samia ! Merci !
Bonjour
Super!Les enfants me demande plus encore…je leur ai raconté l’histoire en petites parties… et à chaque reprise je demandai le résumé de la précédente…ils étaient merveilleux et chacun d’eux donner un détail que l’autre avait omis et cela grâce a vous.
Ton message m’a fait très plaisir ! Je suis ravie que les enfants aient aimé cette histoire.) J’espère qu’ils aimeront les autres.
(demandent…je demandais… émerveillés… donnait…à vous)
Bonsoir Anne,
Vous êtes une bonne personne que je ne jamais connue en France, vous méritez de travailler aux endroits comme préfecture et la mdph, bravo! ne changer pas, resté avec nous les étrangers.
Merci beaucoup
Fabiola
Merci pour ton message Fabiola ! 🙂
(que je n’ai jamais connue, … la préfecture et la MDPH, bravo! ne changez pas, restez avec nous les étrangers.)
Merci pour cette merveilleuse histoire toujours aussi bien racontée. Quel moment agréable et en même temps instructif! Continuez
Mais qu’est-il arrivé à ses enfants? Les a-t-elle laissées être élevées par cet horrible roi?
Libre à chacun d’imaginer la fin. 🙂
Mais, à la fin de cette histoire Blanche est heureuse. Donc comme une mère ne peut vivre heureuse sans ses enfants, à mon avis, ses enfants sont restés avec elle.
(laissés… élevés)
Merci beaucoup Anne!
Cette histoire nous permet de voir à quel point les biens matériels ne peuvent pas nous rendre heureux, d’autre part, il est important d’aider ceux qui sont dans le besoin.
J’ai beaucoup aimé le comportement de Vermeille envers sa sœur, après tous ce qui s’est passé entre elles, elle l’aimait toujours.
Bon weekend!
Encore une fois une belle histoire avec une jolie voix et accent clair,merci beaucoup pour votre générosité de partage
une histoire éducative intéressante qui montre que les gens de bon comportant toujours mérite le mieux
pour être heureux on doit toujours bien-faire pour gagner le cœur des bonnes personnes et la satisfaction de notre miséricorde DIEU
Merci pour ton message !
(que les gens qui se comportent bien mérite toujours… bien faire)
Bonjour Anne,
Merci pour cette histoire instructive.
Je vais parler à coeur ouvert.
Le roi qui avait mariée une fermière avait sans doute une pierre a la place du coeur.
Mais qu’est ce que signifi exactement: Avoir le coeur bas.
Je veux en avoir le coeur net.
Coeurdialement
Ton message est extra ! Merci pour ce message plein d’originalités !
Je n’ai pas trouvé de définition précise pour “avoir le coeur bas”. Je vais, en revanche, te donner mon interprétation. Pour moi, “avoir le coeur bas” signifie que le roi est désespéré (le coeur n’étant plus à sa place mais plus bas).
(le roi qui s’était marié avec une fermière… à la place… Mais que signifie exactement…)
Coeurdialement (J’aime beaucoup !) 🙂
Merci beaucoup pour cette belle histoire ! J’aime la manière dans laquelle vous récitez ces histoires.
J’ai une question à propos de l’utilisation du mot “depuis” et le présent vs le passé composé dans question 7: “Depuis combien de temps Blanche n’a pas revu sa sœur ?” Je pensais que la question serait “Depuis combien de temps Blanche ne revoit pas sa sœur ?” Pourriez-vous expliquer la différence s’il vous plaît ? Merci Anne.
Bonsoir Anne,
je tiens a vous remercier de vos efforts pour satisafaire votre élèves qui sont toujours a la recherche de quelques chose de beau, encore une fois une belle histoire educative et interessante plaine des valeurs humanes signifie que les choses materiel disparu avec le temps. merci encore fois je veux comme toujours de me corriger mes fautes .
Merci beaucoup Amrani !
(je tiens à vous remercier … pour satisfaire vos élèves qui sont toujours à la recherche … une belle histoire éducative et intéressante pleine de valeurs humaines et où les choses matérielles disparaissent avec le temps. merci encore une fois je souhaiterais comme toujours que vous me corrigiez mes fautes.)
Mercy la maitresse ,j ai Aimee cette histoire
Merci Maryam !
(Merci maîtresse, j’ai aimé …)